Un bonheur que de voir tous ces cygnes au parc.

Et ils semblent en pleine forme.

Ceux qui suivent mon blog depuis longtemps comprendront mon bonheur.

Mes cygnes n'ont pas besoin d'être commentés juste d'être regardés

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Pour connaître la triste histoire des cygnes, c'est dans ce lien et c'était en 2013.

http://annick-amiens.eklablog.com/je-l-aimais-copain-cygne-a85617804

Profitez bien de ce beau temps.

J'espère que vous avez pu aussi profiter de ce temps exceptionnel de ce mois de février.

Il a commencé tout enneigé mais ensuite, quel beau ciel bleu.

Rue de Noyon, dernière des longues rues piétonnes avant d'arriver à la Tour Perret et la gare.

Le mois aussi des amoureux.

Voici donc pêle-mêle mes photos ensoleillées.

Le Beffroi et sa Halle au frais.

Notre Hôtel de Ville sous les couleurs de février, au soleil encore très bas.

Bien fleuri ...

Je contourne ce grand pot d'arbre-fleurs.

Le quartier St-Leu, moitié rue pavée, moitié cours d'eau.

Un autre bras de la Somme qui se promène près du parc.

Le parc où ma Grande Dame joue au fantôme et croit que je ne l'ai pas vue.

Où le grand étang montre ses plus jolies couleurs.

Où une petite fille s'éclate avec sa mamie.

Et enfin le chemin de halage où les touristes sont déjà attendus.

Où je discute des choses de la vie avec cette charmante amiénoise.

qui habite un endroit de rêve.

Où notre tour Perret devient phare quand le soleil se couche.

Profitez bien car le mois de mars s'annonce pluvieux. Et oui, nous sommes encore en hiver.

A bientôt !

Il est très rare que je vois autant de monde au parc de la Hotoie. Période de vacances et temps idéal pour un mois de février, tout le monde en profite.

La longueur de cet étang artificiel alimenté par un petit affluent de la Somme, la Selle, fait quand même un bon kilomètre. Le parc est hautement surveillé par notre cathédrale .

Un petit clic pour agrandir cette photo. L'entrée du Zoo est à gauche, on voit l'oriflamme verte.

Ici vivent un couple de cygnes, j'espère qu'ils nous feront des bébés comme l'année dernière.

L'éclairage est très doux, les couleurs très particulières. Nous ne sommes qu'en février !

Il est temps de rentrer au zoo ...

Et voilà ce que je vois en premier ! une grande soif n'attend pas !

Qui cause derrière moi ? ah ! bonjour Annick, te voilà de retour ?

Une petite toilette pour être présentable sur le blog.

Je les trouve très beaux ces canards.

La famille Gibbon est de sortie...

Papa Gibbon entièrement déplié !!!
Il nous ressemble vraiment beaucoup ... en plus musclé

Je suis l'Ocelot, un gros et beau chat qui dort beaucoup !

Et moi le Serval, grand copain d'Annick.

La Dame et le Beffroi.

A bientôt et profitez au mieux de ce beau temps !

Hier, en entrant dans les Halles du Beffroi pour acheter mes carottes, je vois cette affiche.
C'est vrai, chaque 14 février on y a droit, c'est la Saint-Valentin ♥

Parmi toute cette vitamine C je découvre des p'tits cœurs partout !

Les prix sont-ils raisonnables à Amiens ?

Une journée fraîche à l'ombre, très agréable au soleil.
Je constate que des cœurs ont poussé sur les branches horizontales de ces pauvres petits arbres.
Qui donc a inventé cette torture ? Je suis certaine que les arbres n'apprécient pas.
Mais revenons à tous ces cœurs là-haut.

Et oui, tout du long de cette moitié de la rue des Trois Cailloux. Voici d'ailleurs le pourquoi de ce nom.

C'est la plus connue de toutes les rues d'Amiens, et son nom intrigue : "Trois Cailloux". Il y eut d'abord une maison des trois Cailloux, contiguë à la prison de la Barge, entre le Logis du Roy et la rue du Cloître-de-la-Barge... Il y eut ensuite un hôtel des Trois Cailloux, connu dès le XVe siècle.
Selon Charles PINSART, cet hôtel était situé entre le passage du Logis du Roy et la rue Sire-Firmin-Leroux, côté Cloître-de-la-Barge, et sa façade se situait à quelque cent dix mètres de la rue des Trois Cailloux.

Mais revenons de nouveau à nos moutons tous ces jolis cœurs

Voilà, c'est écrit dessus. Tous les ans, les commerçants attirent la clientèle en ce jour où les amoureux se font des p'tits bisous, mais aussi des p'tits cadeaux.

Je m'amuse d'ailleurs avec une vitrine qui me reflète la Place Gambetta. J'aperçois d'ailleurs des cœurs.

Oui, vous êtes bien à Amiens

Des étudiants embauchés pour l'occasion grimpent tout là-haut pour les décrocher (après les avoir accrochés durant toute la nuit précédente !)

En fait, moi et mon Lumix avions rendez-vous avec Géraldine que voici !

Tous brandissent leur numéro, gagné dans les magasins participant à ce jeu de la Saint Valentin et qui donne droit à un ballon-cœur.

Échafaudage et grande échelle pour décrocher les cœurs tout là-haut.

Géraldine, tu es très photogénique ! tu distribuais aussi de la joie et de la bonne humeur.

Nous n'avons pas de ticket gagnant mais nous aussi on veut un ballon !

Ce qui fut fait !

Trop mignons tous ces bambins.

C'était très amusant de cliquer sur tout ce qui était rouge et en forme de cœur.

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Il y a eu quelques larmes aussi ... ouinnnn, je l'ai lâché ....

Je vous offre ces cœurs, ce ciel bleu, ce soleil, et ces premières fleurs décorant notre ville.

Et enfin ce ciel, un soir de cette semaine.

A bientôt ! ♥

Voilà qui fait pas mal d'étages à restaurer !
Le plus grand édifice gothique de France a toujours été restauré au fil des siècles.
Durant ces 4 dernières années, pierres, sculptures, statuaires, vitraux de la moitié ouest de la façade sud on été entre les mains d'ouvriers hautement spécialisés.

Restaurateurs et entreprises locales ont travaillé sur ce chantier durant quatre ans. Photo du Courrier Picard.

Petit à petit, on a fini par découvrir le résultat de ces travaux. Façade que j'avais toujours connue noire !
Durant ces quatre ans, j'ai pris des clichés que je vous montre aujourd'hui.

La restauration commençait cette fois à partir du portail Saint-Christophe.

Vitraux retirés, restaurés, ré-installés ... fabuleux, minutieux, artistique travail.

Saint-Christophe à droite.

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J'en connais qui seront curieux de voir en détails ce statuaire.

En passant devant St-Christophe, il faut lever les yeux vers lui, ainsi on est certain de passer une belle journée car il nous protègera.
Lorsque je fais un article de ce genre, je me renseigne sur le net et j'en apprends toujours.

J'ai eu beau chercher, je n'ai pas trouvé qui étaient cet ange et cette dame.
Peut-être l'ange qui annonce à Marie qu'elle est enceinte de Jésus ! Çà a dû lui faire un choc, enfin, surtout à son mari le brave Joseph.

Les vitraux sont souvent très clairs, ce qui donne beaucoup de luminosité à l'intérieur de la Dame.

Voici l'un de ces vitraux.

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Les marchands de la plante "Waide" se cotisaient pour faire sculpter ces "chapelles" en guise de remerciement.

 La Waide, "Isatis Tinctoria", plante très cultivée en Picardie, dont on se servait pour la teinture avant l'invention de l'indigo. Ici, des marchands de cette plante donnant un très beau bleu.

Saint-Nicolas qui ressuscite trois enfants mis dans le saloir par un boucher.
Très vilain ce boucher.

Une autre chapelle pour remercier car la waide à l'époque rapportait gros, l'or bleu d'Amiens.

Un p'tit chien-lion tout mignon.

J'ai bien cru qu'il allait me sauter dessus ! On voit bien ici la fragilité de la pierre.
Une vidéo pour compléter cet article :

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Des travaux qui se sont arrêtés, pour cette fois, juste avant le portail de la Vierge Dorée.
http://annick-amiens.eklablog.com/ma-dame-la-cathedrale-d-amiens-a103303047

Merci de vos nombreuses visites