La famille "fils aîné" est en vacances, à 2000 mètres d'altitude en Savoie. A peine arrivés là-haut de la grande montagne, mon fils m'appelle et me demande d'aller vérifier si leur porte et leurs volets sont bien fermés ! d'un coup comme çà l'angoisse lui a pris. Ne demandant qu'à le rassurer, me vlà donc partie.
Je passe devant cette tour, perdue au milieu des courettes amiénoises, alors ... click !
Je dois traverser la ville ... la plage amiénoise, passer entre les transats, tout çà ... pas grand monde, à la "miaou" plus un chat à Amiens !
Puis je "monte" la rue de la République, je passe devant le Mus... tiens ! si j'essayais grand zoom ?
Enfin je vois de près cette tourelle et ce balcon, on doit voir tout Amiens du haut du Musée de Picardie, je suis ravie de découvrir ces lions, l'aigle et tout çà ...
Après le Musée, la Bibliothèque ... Un reste du Festival de la BD décore encore l'entrée, j'aime beaucoup ce navire. La BD est un art, en voici la preuve. Mon fils passe un temps fou a dessiner une seule image de ses BD. Un gros boulot d'artiste moi je dis. Vis j'ch'suis rien fière. Je connais des BD où chaque image est un véritable tableau.
Voilà encore un tableau, naturel celui-là ... Et me voici au bout de cette rue de la République. Je traverse les grands boulevards dit "intérieurs".
Coucou le cirque municipal, un des rares en dur comme vous le savez, sous la lumière contrastée du soleil d'août. A partir de là, nous entrons dans le quartier Henriville. C'est là, dans un véritable labyrinthe de rues qu'habite François. J'ai encore toute sa rue à grimper ...
En passant, je vois des p'tites choses à photographier ... Volets fermés, hop, partis en vacances.
J'aime bien ces vases mais surtout le numéro !!!
Une tite lucarne là-haut ! très abîmée, dommage, le vitrail est tellement joli ... mais l'ensemble garde son charme.
Ce n'est pas encore la maison en question mais là encore les volets sont bien fermés sauf ceux de cette jolie fenêtre, et c'est tant mieux !
J'arrive enfin ... pfff pfff ... la rue monte je suis toute essoufflée. Ah les enfants, m'en parlez pas ! Je vérifie, la porte est bien fermée, les fenêtres et leurs volets aussi, je peux rassurer mon fils et redescendre la rue ... Je reviendrai dans ce quartier, il y a tant de p'tites choses comme celles-là très curieuses.
Wahhh, je suis contente, un heurtoir ! je me positionne je cli.... oh pardon ! la porte s'est ouverte et un jeune homme sort de la maison tout éberlué de me voir là ... Je lui demande alors la permission de photographier sa porte et sa femme et lui de m'expliquer que c'est un heurtoir du Maroc. Il est joli sur une porte bleue, la rue est étroite et très passagère, ce qui explique la poussière.
Cette rue est la limite entre le quartier populaire et le quartier chic et bourgeois.
Mais il est l'heure de faire demi-tour ...
Rue St-Leu, déserte en ce mois d'août avec au bout l'église du même nom et moi qui vais m'asseoir à côté de la p'tite dame pour attendre mon chauffeur et ma grande voiture.
Je vous souhaite une très bonne journée de vendredi et vous dis à bientôt.